Au cours du vingt-sixième épisode de l’émission “Al ‘Imam Al-Tayeb”, le Grand Imam : « la réduction des obligations » constitue un appel à l’unité et à la force dans les sociétés musulmanes.
Son Eminence, le Grand Imam, Cheikh d’Al-Azhar a déclaré que « la réduction des obligations » constitue un appel à l’unité et à la force dans toutes les sociétés musulmanes, expliquant qu’elle ouvre la porte à la diversité et à l’intégration, à l’ijtihad. Et en même temps, elle rétrécit les zones de divergence qui conduisent au fanatisme, à l’extrémisme et au sectarisme donnent l’impression que la Umma ait deux religions, voire plusieurs. Son Eminence le Grand Imam a précisé, au cours du vingt-sixième épisode de l’émission « Al-Imam Al-tayeb », qu’il ne fait aucun doute que la division, le conflit et le désaccord des détruisent, sans doute, rapidement les sociétés et sont plus dangereuses que l'idolâtrie et du polythéisme, puisque ce dernier, même s’il s’agit d’un mal omniprésent, il n’est pas difficile de guider les polythéistes à retrouver la foi en Allah. Contrairement au mal de la division et du conflit et l’échec qui y conduit, avec lequel il n’y a aucun espoir de guérison ou de réforme. Son Eminence a démontré que la divergence dans les questions religieuses constitue un danger qui menace l’unité des musulmans du monde entier, soulignant que ce qui s’est passé aux musulmans au cours du siècle dernier n’est rien d’autre qu’une exploitation des différences qui existent entre eux depuis l’avènement de l’Islam. Alors que ces différends ont soudainement éclaté et chacun des adeptes d’une secte particulière accuse l’autre d’hérésie et se donne les raisons pour verser le sang de son adversaire. Bien que ces deux sectes aient vécues sous l’égide de l’islam pendant quinze siècles. Il a expliqué que la plupart des différences entre les factions sont éclatés à cause des questions politiques, affirmant que ce critère ne devrait jamais être une raison de sédition que les adversaires de l’islam exploitent pour semer la discorde entre les musulmans. Mais ils ont réussi, malheureusement, à percer le mur de l’unité entre les musulmans qui avaient déjà remporté la victoire lorsque la Umma était à son berceau, solidaire et unifiée.